Journal
Sula rorbuer
De retour, je pousse vers les quais de pêcheurs.
Chaque passant que je rencontre m’accoste gentiment, mais aucun n’est anglophone, et je ne peux que leur bafouiller quelques « god dag » (bonjour), « fransk » (francais) ou « ha det bra » (au revoir).
Je croise Per sur sa petite mobilette. Enfin quelqu’un avec qui je peux discuter!
Je découvre ensuite le petit port et ses « rorbus », maisons de pêcheurs sur pilotis.
Charmant, non?
(les kayaks de Per, bientôt pour moi drakkar d’un jour)
La petite sirène attend l’ouverture du pub…
Bien! avec tout ça, il est temps de découper mes sashimis…